« Béatrice Massin s’empare du conte comme d’une rêverie baroque musicale et chorégraphique »

dans
la programmation

« La danse, tout en énergie et en accord avec des airs d’opéras de Mozart, se fait libre, joyeuse, sensuelle. La chorégraphe Béatrice Massin souhaitait faire découvrir aux plus jeunes le monde artistique baroque. C’est une merveilleuse réussite. »
Télérama > lire l’article

« C’est une Belle à la cour du roi que nous montre la chorégraphe, dans une première partie assurément baroque, pour faire place ensuite aux propres échappées des trois danseurs. (…) Ainsi, c’est tout un cheminement onirique et ludique qui est proposé au spectateur, mêlant symboles et suggestions. »
La Terrasse > lire l’article

« Recontextualisant le conte de Perrault à l’époque de sa création, cette spécialiste de danse et de musique baroques nous entraîne à la cour du Roi-Soleil avec facétie. Mettant à l’honneur trois jeunes danseurs, la compagnie des Fêtes Galantes privilégie l’audace et la gaîté de ces pousses frémissantes. Exquis, frais et pétillant ! Cette Belle au bois dormant ravira donc petits et grands grâce à une danse enjouée et généreuse, une interprétation frétillante et un regard original porté sur un conte atemporel. »
Hier au théâtre > lire l’article

« Nul n’ignore ce conte de Charles Perrault qui a souvent fait les délices de nos bambins à la veillée, avant de les laisser tomber dans les bras de Morphée. Le jugeant peut-être un peu passéiste, Béatrice Massin l’a réadapté au goût du jour, tout en en conservant l’essence. Ce qui, toutefois, peut paraître un peu surprenant, est que cette spécialiste des danses baroques a fait le choix de sortir des sentiers battus pour faire un « écart », pas très grand il est vrai, vers la danse contemporaine afin de montrer  qu’il peut exister des ponts entre les deux disciplines. »
Critiphotodanse > lire l’article

« Béatrice Massin s’amuse aussi à jongler entre travestissements, jeux d’illusions et esprit Grand Siècle tendance à la cour de Louis XIV. La Belle s’endort sur des musiques de Lully et se réveille sur celles de Mozart. Entre les deux, sur la piste de cette histoire d’amour, de vengeance et de rêve, gageons que la chorégraphe de la compagnie Les Fêtes galantes saura nous faire perdre la tête. »
Le Monde > lire l’article

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