« Le Cauchemar » dans la presse

dans
la programmation

Jamais performance n’aura réuni, on l’espère, public aussi composite, footeux et théâtreux, au coude à coude, galvanisés par des enjeux somme toute éminemment spectaculaires, dramatiques et définitivement écrits dans le marbre de l’Histoire.

Découvrez la revue de presse enthousiaste qui précède cet événement… sans précédent.

France Inter / L’œil du tigre : Massimo Furlan et Stéphane Guy étaient les invités de Philippe Collin et son équipe.
> écouter l’émission du dimanche 20 mai

France Inter / Un temps de Pauchon : Hervé Pauchon est venu à un entraînement rencontrer Massimo Furlan et les volontaires.
> écouter le podcast de la première partie diffusée le 19 mai
> écouter le podcast de la seconde partie diffusée le 20 mai

Télérama Sortir : « Bluffant ! (…) Perdu, on l’est quelques secondes devant ce ballet inédit où s’entendent les souffles haletants et le bruit des crampons sur l’herbe verte. Mais on se laisse prendre au charme de cette chorégraphie poétique. (…) L’art et le sport réconciliés grâce au théâtre ? Cette ingénieuse initiative transforme une culture populaire et spectacle exigeant et, lui aussi, populaire. But ! »
> lire l’article de Joëlle Gayot sur Telerama.fr

L’Equipe Magazine : « Ils vont vivre un rêve le temps d’un cauchemar. Pendant cent vingt minutes et quelques tirs au but, ils seront les footballeurs de l’équipe de France au soir du 8 juillet 1982, dans le stade Sanchez-Pizjuan de Séville. Comme dans leurs jeux de gamins les plus fous, quatorze hommes et femmes qui ne se connaissaient pas il y a six mois joueront une demi-finale de Coupe du monde face à la RFA. Pour de faux, mais au plus près de la vraie. Avec le stade de Colombes pour scène, des maillots de l’époque floqués pour l’occasion. Hervé Mathoux et Stéphane Guy, journalistes à Canal+, au commentaire. Mais pas de ballon, ni d’adversaire, dans cette sorte de chorégraphie en plein air. »
> le reportage de Béatrice Avignon (accès payant)

Libération : « Nous sommes en mai 2018 en proche banlieue parisienne, donc, et le but du jeu est de remonter le temps et d’imaginer que nous sommes le 8 juillet 1982, jour de la demi-finale de la Coupe du monde de football, sur la pelouse du stade de Séville. Devant nos yeux va prendre place une tragédie contemporaine qu’aucun metteur en scène n’aurait jamais songé à monter. Sauf à s’appeler Massimo Furlan et à aimer soulever des hypothèses incongrues : si la beauté du foot réside aussi dans ses usages, dans la somme de liens affectifs et de mémoire collective qu’il véhicule, dans la chorégraphie et la dramaturgie qu’il dessine, on peut bien se demander alors pourquoi il n’y aurait pas un «répertoire» de matchs à reconstituer, comme un répertoire de pièces inscrites au patrimoine de la Comédie-Française ou au ballet de l’Opéra de Paris. On verrait dans ce fonds footballistique des drames hugoliens, des farces élisabéthaines et des tragédies classiques. »
> lire l’article complet de Eve Beauvallet sur Liberation.fr

Le Figaro : « Massimo Furlan ou l’art du contre-pied. À quinze jours de la Coupe du monde de football en Russie, à l’heure où la France célèbre les vingt ans de la victoire des Bleus en 1998, le performeur cultive l’amour de la défaite. Si la demi-finale France-RFA au Mondial de 1982, en Espagne, ne vous dit rien, allez faire un tour sur Wikipédia. Ou demandez aux plus de 40 ans, au risque de voir leurs yeux s’embuer. Ce match, c’est un traumatisme indélébile. Une tragédie grecque. »
> l’article d’Etienne Sorin (accès payant)

Sports.fr : « Voilà plusieurs semaines maintenant que je m’entraîne à enguirlander Michel Platini en personne. Je suis dans mon rôle, celui de Jean Tigana, membre du carré magique de l’équipe de France. (…) Depuis maintenant six mois que 14 footballeurs amateurs de Colombes et de ses alentours s’entraînent d’arrache-pied pour parvenir le jour-J à reproduire le plus fidèlement possible ces 2h30 d’anthologie (mi-temps, prolongation et tirs au but inclus). En une chorégraphie XXL. Une équipe mixte, où « Platoche » est prof de maths, Rocheteau « L’ange vert » responsable dans un comité d’entreprise et Battiston, la victime de ce diable de Schumacher, consultante dans le secteur bancaire. Un rôle essentiel, au cœur du drame. »
> lire l’article complet de Sylvain Labbé sur sports.fr

Pariscope : « Massimo Furlan, qui n’a jamais monté une pièce de théâtre en bonne et due forme et situe son travail scénique du côté de l’anecdote personnelle et de la mémoire collective, sur un mode iconoclaste toujours, renoue une fois de plus avec son enfance, du temps où il jouait au foot dans sa chambre en écoutant les matchs à la radio, et avec l’Histoire, celle d’un événement qui aura marqué une génération de téléspectateurs. C’est ainsi qu’armé de quatorze volontaires triés sur le volet pour leur enthousiasme, leur motivation, leur passion folle du football, il se lance dans la reconstitution à l’identique du match, comme une chorégraphie ultra fidèle qui ne laisse aucune place à l’improvisation. (…) Jamais performance n’aura réuni, on l’espère, public aussi composite, footeux et théâtreux, au coude à coude, galvanisés par des enjeux somme toute éminemment spectaculaires, dramatiques et définitivement écrits dans le marbre de l’Histoire. »
> lire l’article complet de Marie Plantin sur Pariscope.fr

Nova / Plus près de toi : Vers 7h50, Edouard Baer appelle Massimo Furlan.
> écouter l’émission du 31 mai 2018

France Inter / Popopop : Dans la deuxième partie de l’émission, Antoine de Caunes invite l’artiste et performer Massimo Furlan pour présenter son prochain spectacle « Le Cauchemar de Séville, tragédie en 2 actes avec prolongation »
> écouter l’émission du 1er juin 2018

Surface Magazine : « Match référence de l’équipe de France, mais aussi traumatisme pour toute une génération, le France-Allemagne de la Coupe du Monde 1982 en Espagne, continue de hanter l’inconscient collectif. Afin d’exorciser cette page flamboyante et sombre du football Français, cette rencontre historique fait l’objet d’un remake au théâtre. (…) Il ne sera pas question de gestes techniques ni de pointes de vitesses balle aux pieds, mais d’interprétation théâtrale, lyrique, et aussi physique de cette demi- finale. »
> lire l’article complet de Alex Paul Demetrius sur Surfacemagazine.fr

France Bleu / ça bouge à Paris : interview de Massimo Furlan
> écouter le podcast

France Inter / La Revue de presse : « A Colombes, dit Libération, sur un vieux stade chargé d’histoire, des habitants de la ville entraînés par un artiste suisse préparent une reconstitution du mythique France-Allemagne de 1982… Mais sans ballon, ni allemands, juste les Bleus, « interprétés par des simples passionnés de 18 à 65 ans, maladroits et sans doute complètement essoufflés », qui danseront seuls à qui l’on dictera, par oreillette, les gestes de nos glorieux vaincus d’il y a 36 ans. Notre histoire. »
> écouter le podcast

Les Inrocks / La sélection théâtre de la semaine : Fabienne Arvers a sélectionné Le Cauchemar de Séville !
> voir la sélection

Prochains rendez-vous dans la presse…

  • Massimo sera l’invité d’Antoine de Caunes sur France Inter vendredi 1er juin à 16h45.