« Drôle de bout en bout, le one man show d’un artiste talentueux et libre » [Télérama]

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la programmation

Complet à Paris en seulement quelques jours, plus de 50 000 places vendues avant le début de la tournée, des représentations doublées, six dates exceptionnelles ajoutées à l’Olympia et 8 dates aux Folies Bergères: Vends 2 pièces à Beyrouth, sera à Colombes le 1er décembre 2017. 

« Le terrorisme, le conflit israélo-palestinien, le djihad… Aucun sujet ne fait peur à l’intrépide Jérémy Ferrari. [….] L’humoriste aborde dans ce nouveau spectacle des thèmes pour le moins sensibles, propices éventuellement à la provocation gratuite. Ecueil évité ici grâce à une écriture aussi précise que cinglante. Et quand Jérémy Ferrari s’attaque aux ONG, il le fait documents à l’appui. Drôle de bout en bout, Vends 2 pièces à Beyrouth est le one-man-show d’un artiste talentueux et libre. Résolument libre. »
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« Dans son nouveau spectacle, Jérémy Ferrari a décidé une nouvelle fois de faire rire sur des sujets auxquels les autres humoristes n’osent pas s’attaquer. Avec sa plume aiguisée, qui sait faire passer d’un instant à l’autre le spectateur du rire à l’émotion vive, il parle de géopolitique, de guerre, de politique gouvernementale ou encore d’organisation non gouvernementale, le tout sur le ton de l’humour noir et dénonciateur qu’il aime pratiquer. Avec son écriture fine et intelligente, il aborde ces sujets, et bien d’autres, sans pour autant en devenir moralisateur. Il ne donne en aucun cas des leçons de morale à son public, lui laissant son libre arbitre à chaque instant. Il souhaite simplement l’informer et lui faire prendre conscience de la réalité de notre monde par le rire. »
Victoire Panouillet/ Critique humoriste, 31/01/2016 > lire l’article 

« La cruauté de ses propos n’est pas gratuite. Elle est au contraire positive en ce sens où elle agit sur nous comme un aiguillon. Vends 2 pièces à Beyrouth est au spectacle ce que le livre Indignez-vousde Stéphane Hessel est à la littérature. C’est un lanceur d’alerte…
Jérémy Ferrari balaie large ; il mitraille. Il ne s’économise guerre. Mais ses objectifs sont parfaitement ciblés. Pour qu’on ne se méprenne pas, pour être imparable quant à ses arguments, il est allé jusqu’à prendre des cours auprès d’un éminent professeur de géopolitique. »
Gilbert Jouin / Critikator, 29/01/2016 > lire l’article 

« Corrosif et inspiré, Jérémy Ferrari a déployé […] un spectacle sans concession, en s’appuyant sur l’histoire et l’actualité, pour cribler de blagues le terrorisme. Et si l’une des meilleures armes face à la peur était l’humour ? »
La Voix du Nord, 18/03/2016 > lire l’article 

Crédit photo André D