Une ode électrique au courage féminin

dans
la programmation

Avec Electre des bas-fonds, l’acteur, auteur et metteur en scène Simon Abkarian signe une fresque épique enlevée aux accents lyriques.

« Quelle langue ! Charnue, colorée, sensuelle et assassine… Quelle danse ! Chorale et endiablée, rythmée tout au long du spectacle fleuve par le trio Howlin’ Jaws, tout ensemble rock et blues… Autant d’ingrédients pleins de saveurs et de générosité pour retisser l’atroce mais libératrice légende des Atrides, contée par les tragiques grecs Eschyle, Sophocle, Euripide, dès le Ve siècle avant Jésus-Christ… » Télérama

« Au Théâtre du Soleil, à Paris, le comédien et metteur en scène métamorphose la tragédie d’Eschyle en une fable musicale mâtinée d’Orient. Un spectacle renversant, dans lequel le facétieux Simon Abkarian bouleverse les genres et fait valser les clichés sexistes. » La Croix

« Nourrie d’expériences et de science, la langue hardie, limpide, éclaire à sa manière singulière les mythes, les meurtres et les malédictions. La scène mobilise ici tous ses moyens pour créer une fête de théâtre, en unissant la parole, la musique et la danse, en convoquant les spectres et en accordant une grande importance aux chœurs. » La Terrasse

« Aux accents souvent lyriques, cette langue foisonnante dont les envolées saisissent, est captivante par sa capacité à susciter des images. De celle-ci, les comédiens se saisissent avec brio. Si certaines tirent particulièrement leur épingle du jeu par leur interprétation rigoureuse, toute en subtilité – citons Clytemnestre, Électre ou Chrysotémis – l’ensemble de la distribution tient le cap de bout en bout. C’est, d’ailleurs, dans cet impeccable travail de troupe, cette énergie collective, cette jubilation à jouer, que réside la puissance de cet Électre des bas-fonds. » Sceneweb.fr