« Kyoto Forever 2 », une pièce qui « réchauffe le cœur » (Télérama)

dans
la programmation

« En écho à la Cop 21, a fleuri une foultitude d’initiatives artistiques qui, toutes, entendent alerter également le public sur les questions liées au réchauffement climatique. Portant le titre sans ambages de Kyoto Forever 2, le spectacle imaginé par Frédéric Ferrer est de ceux-là qui, en distordant à peine la réalité de ce type de rendez-vous international, vétilleux, voire abscons et, d’une certaine manière, déconnecté de la «réalité», aborde la question sur un mode résolument grinçant. » Gilles Renaud / Libération, 3/12/2015
> lire l’intégralité de l’article

« Plutôt qu’un scénario catastrophe, Frédéric Ferrer nous propose une comédie… fatale diablement efficace. […] ce spectacle intelligent et drôle contribue au sursaut des sensibilités et donne envie de relever ses manches pour refonder notre civilisation, créer une société plus juste où vivre mieux avec moins. Qui a dit que le théâtre ne pouvait pas sauver le monde en une heure vingt top chrono ? » Léna Martinelli / Les Trois Coups, 1/12/2015
> lire l’intégralité de l’article

« Les neuf comédiens, représentant chacun leur pays et s’exprimant – en partie – dans leur langue natale, nous plongent au cœur des négociations climatiques. Dans une ambiance de dramaturgie propre aux cénacles onusiens, qui se prête formidablement bien au jeu théâtral, la formule «Il n’y a pas de Plan B parce qu’il n’y a pas de planète B» prend ici tout son sens. Richement documentée, cette pièce rappellera des souvenirs aux plus avertis sur le sujet.
[…] Les néophytes, eux, comprendront facilement de façon très illustrée les enjeux de ces discussions et les positions de chacune des parties. »
[…] Frédéric Ferrer a réussi le tour de force de faire d’un sujet aride une comédie la fois didactique, vivante et drôle, interprétée avec brio par Karina Beuthe, en représentante de l’Union européenne convaincue et Charlotte Marquardt, la déléguée américaine. » Caroline de Malet / Lefigaro.fr, 1/12/ 2015
> lire l’intégralité de l’article

« Ferrer affectionne une forme théâtrale : la conférence scientifique qui dégénère, déjà expérimentée par d’autres, notamment le metteur en scène Thierry Bédard, mais d’autant plus pertinente qu’en phase avec son sujet. Car le fond – le déraillement – finit par contaminer la forme – le discours et sa représentation. Kyoto forever 2, le spectacle qu’il présente à la Maison des Métallos à Paris, est de ce point de vue particulièrement réussi.
[…] Faire sourire et semer le doute, ce sont en somme les armes que Frédéric Ferrer oppose à la certitude du pire. » René Solis / Delibere.fr, 24/11/2015
> lire l’intégralité de l’article

Réserver en ligne