«Un croisement entre Big Brother et les élections générales en Italie.» [The Independent]

dans
la programmation

Fight Night est un voyage d’exploration ludique en immersion. Le spectacle place cinq acteurs dans la position de « candidats » qui se battent afin de gagner la sympathie des spectateurs et, au bout du compte, leur vote. Ils mettent en œuvre toutes les tactiques et stratégies possibles pour remporter la victoire.  La compagnie belge Ontroerend Goed sera présente à l’Avant Seine le 28 novembre 2017, découvrez les commentaires de la presse. 

« Fight Night devient une exploration vitale (…) des raisons qui nous poussent à nous accrocher à nos institutions démocratiques, malgré leurs échecs, et de la forme que pourraient prendre les autres options possibles, et aussi de la façon dont nous finissons par faire face à la dissidence, que ce soit dans la société ou dans un petit espace où la majorité a pris une décision, alors qu’une importante minorité n’est pas d’accord. »
Joyce McMillan / The Scotsman 

« Sans aucune référence politique, Ontroerend Goed présente une analyse précaire de la politique axée sur le consensus dans laquelle s’est retrouvé notre système démocratique. C’est impressionnant. »
Evelyne Coussens / De Morgen

« Davantage que sur les acteurs, Fight Night nous en dit long sur nous-mêmes, le public ; comment, en tant que groupe, nous jugeons, condamnons, punissons ou tolérons. »
Liv Laveyne / De Standaard

« [Le spectacle] démontre comment la majorité fait facilement bloc contre la minorité quand elle se sent menacée, et dans quelle mesure la démocratie et l’autocratie se confondent. La démocratie est bien belle, mais uniquement quand on fait partie de la majorité. »
Daniel Hutton /  Culture Wars 

« Fight Night, comme tous les spectacles d’Ontroerend Goed, divise les spectateurs, mais on ne peut nier que cette compagnie continue de faire évoluer ses modes d’interaction avec le public, produisant ainsi des pièces exigeantes qui posent des questions et provoquent. »
Jake Orr / A Younger Theatre

« Mais qui a besoin de la politique de consensus si une révolution est possible ? »
Dorothy Max Prior / Total Theatre