« Cécile McLorin Salvant, la wonder woman du jazz vocal » (Télérama)

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« Faire jeu de franchise artistique. Se dévoiler sans fard. Faire fi des mouvances esthétiques. S’inscrire ailleurs, à part. Avec “For One To Love”, son troisième album, Cécile McLorin Salvant subjugue et transporte. […] À une époque où le jazz vocal est mis à mal par moult impostures jurant par le scat dépourvu d’émotion, Cécile McLorin Salvant nous fiche une claque inattendue. On sent les influences de Betty Carter, Blossom Dearie ou Sarah Vaughan dont elle s’émancipe aisément selon son humeur.»
Katia Touré / Jazz Magazine, Septembre 2015

« Woman Child [est] un album, qui lui a donné le statut de chanteuse la plus prometteuse en ce début de XXIe siècle. Cette pure chanteuse de jazz a des dons de comédienne grâce auxquels elle transforme chaque chanson en une histoire. La réussite de For one to love est là : douze petites perles bien distinctes qui parlent d’amour en douze couleurs révélant chacune une facette originale de son talent. »
Michel Contat / Télérama.fr, 14/09/2015 > lire l’article

« En puisant loin dans les racines blues, la chanteuse franco-américaine insuffle à son jazz une vitalité éclatante, au point de s’imposer en quelques années comme une nouvelle référence des deux côtés de l’Atlantique. Elle publie aujourd’hui à 26 ans l’excellent “For One To Love”, un album soigneusement mûri, reflet de son talent d’orfèvre vocale qui s’emploie à faire vibrer l’essence des mots. »
Nicolas Teurnier / Soul Bag n°220

« À quoi reconnaît-on une chanteuse hors norme ? Au don pur, cette voix à peine éraillée, ce chant détimbré qui ne force jamais. »
Jean-Yves-Dana / La Croix, 08/09/2015 > lire l’article

« Accompagnée par son formidable trio, elle s’approprie et met en scène chaque thème avec un naturel et une truculence désarmants. Tour à tour câline, joueuse, rieuse ou grave, Cécile McLorin Salvant s’habille de chaque émotion et fait de ce disque une comédie dans laquelle elle se livre totalement. Difficile de ne pas penser à Bessie Smith lorsqu’elle chante le blues ou à Sarah Vaughan, deux de ses influences revendiquées. » Christophe Karcher / Causette, janvier 2016

« À 26 ans, Cécile McLorin Salvant a déjà su attirer l’attention par sa présence, son humour et sa musicalité très assurée. Pour son deuxième album For One to Love, elle mise sur un accompagnement des plus classiques (le trio avec piano) dont la retenue met en valeur son extravagance naturelle. Sa technique est bien sûr impeccable, mais Cécile semble surtout aspirer à la justesse de ses interprétations. »
Les Inrocks > lire l’article

Crédit photos : Mark Fitton

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