« L’art de singer le primate »

dans
la programmation

« Guillaume Béguin et son équipe de comédiens réfléchissent sur l’origine du langage et la part d’animalité dans l’homme à travers un spectacle poétique d’une belle intensité. […]

Le Baiser et la Morsure, réussit à créer ce même trouble, puissant, entre humanité et animalité. Des grands singes changent, petit à petit, de statut, quittent leur masque de gorille, gagnent en verticalité. Il est là, le talent de cette création collective, emmenée par Guillaume Béguin à la mise en scène et Nicole Borgeat à la dramaturgie: la mise en place d’une traversée sensorielle qui permet d’envisager l’humain dans ses forces et ses faiblesses, une scène ouverte, de l’animal à l’homme, qui propose un questionnement sans jugement sur ce qui fait qu’on est petit ou grand. On en ressort éduqué. »
Le Temps > lire l’article

« L’économie de la parole chez nos ancêtres velus fait de la pièce de Guillaume Béguin une étonnante prouesse physique, et langagière. […] Le prodigieux monologue de Pierre Maillet, flirtant avec l’absurde, et les bégaiements d’un Matteo Zimmermann en costume-cravate, révèlent la superficialité du langage. »
Le Courrier > lire l’article

« L’argument du Baiser et la morsure, le voici : comment a été découvert le langage ? Comment l’animal est devenu l’humain ? et l’humain, n’est-il vraiment plus un animal…? Autant de questions sous-jacentes à la pièce qui, sans être posées explicitement, traversent le jeu de scène, les attitudes, les costumes, le décor. »
R.E.E.L > lire l’article

Crédit photos Steeve Iuncker

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