« Le grain de folie de cinq garçons très équilibrés. » [L’Alsace]

dans
la programmation

Machine de Cirque, jeune compagnie tout droit venu du Québec, offre un spectacle poétique et humoristique. Quinze ans après l’apocalypse, cinq hommes survivent toujours. Leur quête ultime : la rencontre d’autres rescapés. Leur planche de salut : une machine des plus surprenantes. 

« Le public est séduit, parfois par l’exploit, souvent par l’audace mais toujours avec poésie et humour. […] Ces artistes évoluent dans un monde où la pesanteur se fait légère, où tout est fait pour en mettre plein la vue aux spectateurs mais avec délicatesse comme des Pierrot lunaires accrochés à leurs rêves de conquête de l’espace tant terrestre que céleste […] Là est tout le piment de ce spectacle : faire de l’original avec du traditionnel, être appliqué sans se prendre trop au sérieux. »
L’Alsace, 10/12/2016 > lire l’article 

« Cette création réunit cinq bonhommes sur une scène qui va, sous leur impulsion musclée, vibrer et s’enflammer à un rythme de folie. Bienvenu dans la déraison des corps et de l’apesanteur. Le pitch, le voici : quinze en après l’apocalypse, un groupe de survivants guette l’apparition d’autres rescapés. Auprès d’eux, il y a une machine improbable qui se révèle être un formidable partenaire de jeu.  »
L’Alsace, 4/12/2016 

« Après l’apocalypse, le cirque ! C’est la fin du monde. […] Dans ce monde en pièces détachées, ils rivalisent d’humour et d’originalité pour conserver leur humanité. Au travers d’un spectacle fait de haute voltige. La Machine de cirque permet de créer du lien social à l’heure ou celui-ci se raréfie. Au programme : des instruments aussi divers que la planche coréenne, les quilles, la batterie, et même la serviette de bain. »
La Provence,  4/11/2016 

« Le plus spectaculaire dans ce spectacle est la capacité des circassiens à faire en même temps un numéro de cirque avec équilibre, puissance, coordination et interprétant des personnages attachants avec esthétisme, poésie et profondeur. Un numéro de voltige à quatre sur une planche coréenne, donnant des frissons et provoquant l’admiration devant enchaînement de saltos de plus en plus complexes, clôturait en apothéose la représentation.  »
 La Provence, 8/11/2016 

« Dans cette scénographie à la Mad Max, les cinq artistes circassiens rivalisent d’originalité. Armés de leur stupéfiant talent pour la haute voltige et de leur ingéniosité, ils enchaînent des performances exceptionnelles et moments de pure poésie. »
Le Télégramme, 22/11/2016 > lire l’article 

Crédit photo : Loup-William Théberge