« Une farce grandiose entre cirque et cabaret dans un décor de fond de grenier » [MédiaPart]

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la programmation

« Sous la direction animée de Manuel Peskine, l’orchestre Opéra Éclaté met en valeur la partition canaille de Weill. Sonorisés, les chanteurs jouent le jeu de l’humour sarcastique et décapant. Coiffée d’une espèce de turban à la Simone de Beauvoir, Nicole Croisille incarne une implacable Célia, face au Peachum plein d’autorité de Patrick Zimmermann et à la sensuelle Polly d’Anandha Seethanen. »
Bruno Villien / Opéra Magazine

« Une farce grandiose entre cirque et cabaret dans un décor de fond de grenier de grand’mère ou rien n’est de trop pour l’environnement du Monsieur Loyal local. Nicole Croisille a attrapé le public dans le rôle de Madame Peachum, mégère de caniveau à la limite de la mère maquerelle voulant cependant protéger sa fille des griffes de Mackie qu’elle soupçonne a raison de vouloir l’ajouter à sa liste déjà longue d’épouses putatives. De très beaux jeux d’acteurs et de magnifiques voix. »
Antoine Lazerges / MédiaPart

« Ce «cabaret-circus» est très visuel, animé et sans hiatus. On sent tout de suite la cohésion entre acteurs-chanteurs et petit orchestre de cuivres, bois, accordéon et percussions, placé sous la direction de Manuel Peskine. La troupe est remuante à souhait. Tous bons comédiens et bons chanteurs (…) Il y a chez Brecht toujours une actualité brûlante qui fait de cet Opéra de Quat’Sous une œuvre qui nous parle encore par delà les aléas tragiques que l’Histoire. »
Patrick de Maria / La Marseillaise

« Cette production de l’Opéra Éclaté est également une réussite sur le plan instrumental. Sous la direction de Manuel Peskine, «l’orchestre», loin des canons classiques, a su nous plonger dans l’univers music-hall des années 30, un monde pas très recommandable où «Les voleurs volent, les mendiants mendient et les putes font les putains». »
Frédéric Isoletta / Zibelin

Crédit photos Frederic Stephan, Thierry Lindauer

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