Zabou Breitman, exceptionnelle

dans
la programmation

Zabou Breitman dans un spectacle à la fois drôle et profondément touchant, livre une interprétation magistrale.

« L’actrice s’approprie, avec brio, l’oeuvre de l’écrivain Lydie Salvayre. Et en plus de la mise en scène, elle prend en charge pas un, ni deux… mais bien trois rôles. (…) La comédienne, entièrement au service du texte, ne surjoue jamais.  »
L’express, lire la suite de l’article

« Elle nous bluffe par son débit et sa rapidité à basculer du passé au présent, de la narration au style direct, du cocasse à la sobriété. Du grand art, de quoi émouvoir sans plomber, faire sourire et trembler. Ajoutez à cela des décors impeccables et chargés, une mise en scène dynamique et risquée,  cette femme est géniale, elle assume tout. On se le tient pour dit, rien n’est assez fou pour Zabou ! »
France Culture, lire la suite de l’article

« Une achronie dans laquelle le spectateur lui-même se trouve embarqué dès les premiers instants de la pièce.(…) Zabou Breitman incarne à merveille toutes les générations et tous les degrés de folie ou de souffrance : au-delà de la prouesse de jeu, il y a quelque chose de profondément inspiré, dans sa présence.  »
Le Monde, lire la suite de l’article

« Zabou Breitman a assuré la plupart des tâches. Elle a adapté le roman, l’a mis en scène et le joue. Elle s’est dirigée elle-même, en profitant de l’avis de ceux qui l’entourent(…). Pourtant, la maîtrise est là, comme si tout avait été guidé par un observateur extérieur.
L’actrice parvient dans une extrême subtilité à développer différentes musiques : la tristesse, la rage, la mélancolie, l’absurdité, la vie des humbles, la tendresse, le vent de l’Histoire. Peu d’interprètes ont cette capacité à être en même temps dans le goût de la littérature (elle déguste chaque phrase, en donne la saveur, le mordant, la drôlerie) et dans la vie même de ce qui est représenté.(…) C’est stupéfiant d’audace scénique et politique.  »
Le Point, lire la suite de l’article

« La beauté triste de la pièce culmine le temps d’une danse qui montre encore une fois l’étendue du talent de Zabou Breitman (…), elle passe d’une émotion et d’un personnage à l’autre avec un talent incontestable. (…) Jamais larmoyante, la pièce est caustique, tendre parfois, cruelle, lucide, drôle, poignante, et nous emporte dans son tourbillon pour nous laisser bouleversés, songeant à nos propres spectres, à la nécessité, parfois, de laisser ou faire tomber les masques et surtout, malgré leur poids, à la nécessité de « se souvenir des terribles choses » ».
In the mood for Cinéma, lire la suite de l’article 

Crédit photo Chantal Depagne Palazon
Revue de presse réalisée avec l’aide de Margot Maisonnneuve, stagiaire en classe de 3ème au Collège Lakanal